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CAILLE

Village typique des Préalpes des Alpes Maritimes, situé à 1200 m d'altitude, aux maisons serrées les unes contre les autres de part et d'autre de la rue principale, au pied du "Baou Roux". Niché au fond de la plaine indissociable de son village autrefois agricole. Partie intégrante de la vie des Caillois depuis toujours, l'économie étant essentiellement basée sur l'élevage et l'agriculture jusqu'à l'après guerre. Longue d'environ cinq mille mètres jusqu'au village d'Andon, cette étendue est un poljé, c'est à dire un bassin d'effondrement de l'ère tertiaire, jusqu'au début du siècle, la partie basse de celle-ci ressemblait à un marécage. En 1877, une épidémie de fièvre typhoïde emporta, entre le 9 août et 17 octobre, six jeunes cultivatrices et cultivateurs. Ce n'est qu'à partir de 1903, suite à un rapport adressé à l'inspecteur d'hygiène départemental que le projet d'assainissement du "marais de Caille" a vu le jour. La "météorite de Caille", bloc de fer de 625 kg, fut découverte vers le milieu du XVIIème siècle par un berger, elle serait tombée sur la montagne de l'Audibergue, il y aurait 160 000 ans. Donnée en 1828 au musée d'Histoire Naturelle de Paris, en échange, la commune espèrait obtenir quelques fonds mais sans succès à ce jour. En 2007, un moulage en résine est installé dans le bas du clocher de l'église et mis en valeur par un "son et lumière".

La météorite de Caille - Une des plus grosses retrouvées d’Europe, découverte par un berger sur la montagne de l’Audibergue puis traînée par 4 boeufs jusqu’au village. Elle pèse 625 kg, composée de fer à 90,89 % et de nickel à 9,11 %. C'est l'une des plus grosses pièces de la collection du Muséum d'Histoire Naturelle de Paris; en 2007, la commune a fait faire un moulage en résine il est installé dans le bas du clocher et mis en valeur par un "son et lumière".
Eglise Saint Étienne - Accolée à la mairie, mentionnée en 1351.
Le château
La plaine de Caille - De forme conique, inclinée d'est en ouest, longue d'environ cinq mille mètres jusqu'au village d'Andon. C'est un poljé, bassin d'effondrement de l'ère tertiaire.
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